Peu utilisés, instables... les logiciels made in France de l'État coûtent un pognon de dingue - eviltoast
  • brsrklf@jlai.lu
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    4 months ago

    Je bosse dans une collectivité territoriale. Depuis l’année dernière, les décideurs ont choisi de nous faire passer à Microsoft 365 pour tout ça.

    C’est très cher, ça a bien fait suer l’infra et ça continue à nous poser plein de problèmes d’intégration. Et le pire c’est que vu le prix, on sait même pas combien de temps ça va durer, si ça se trouve dans un an un changement de politique ou de budget nous fait tout arrêter avec tout ce que ça implique pour refaire une transition derrière.

    Et, opinion personnelle mais pas vraiment polémique, Teams, c’est vraiment pas très bon.

    Donc bon, je sais pas ce qu’ils valent leurs softs maison mais faut pas croire qu’il n’y a pas de problèmes en face.

    • Restach'@jlai.lu
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      4 months ago

      Je suis salarié d’une asso, on nous oblige à tout faire via teams. Un nextcloud semblerait parfait pour nous. Mais c’est un truc de geek à priori. Pourtant ,tout y est intégré. C’est vrai les coûts par tête de pipe qu’ils annoncent? c’est énorme.

  • Ziggurat@sh.itjust.works
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    4 months ago

    Mais ce niveau de dépenses est à relativiser, estime la Dinum, qui compare le coût des licences privées d’une suite numérique (bureautique, messagerie, échange de fichiers) à celui des solutions maisons, rapporte la Cour des comptes, dans son rapport. Alors que les premières oscilleraient entre 300 et 590 euros par an et par agent, la suite numérique reviendrait à 75 euros par agent et par an, pour un coût « d’un peu moins de 15 millions d’euros, pour une utilisation en moyenne par moins de 200 000 agents ».

    • rakoo@blah.rako.space
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      4 months ago

      Tchap est déjà basé sur du logiciel libre (Element et Matrix). Sauf qu’il suffit pas de télécharger les paquets de debian, il y a du travail d’adaptation à faire.

      @france