Et si on oubliait nos déchets nucléaires ? Derrière cette question, la problématique de la mémoire, celle de la transmission de données à travers le temps, mais aussi d’un choix de société que l’on peut mettre en perspective avec d’autres, comme la gestion des autres déchets dangereux mais aussi ménagers.
Cette vidéo a été réalisée en partenariat financé avec l’Andra, le concours de ma famille et l’assistance bien-aimable de plusieurs amis notamment pour la mise à disposition de lieux de tournage.
Si vous parlez d’Oklo (je ne connais pas d’autre reacteur naturel) le phénomène s’est déroulé il y a 2 milliards d’année.
L’idée c’est que les déchets radioactifs étaient toujours là quand on les a trouvé, et y avait personne qui était mort autour a cause de ça.
Pas de peuplement, enfouissement sous des centaines de mètres d’un uranium aujourd’hui plus pauvre que dans les mines en activitées. Comment cela pourrait-il constituer une quelconque mortalité ? Les études précisent bien qu’il n’y a pas de parallèle direct à établir avec le stockage en profondeur contemporain. Stockage qui est en l’etat un laboratoire. Celui-ci justifie-t-il les coûts engendré par l’enfouissement ? L’Andra a ma connaissent n’a pas planché sur les alternatives de surface, les solutions alternatives n’ayant pas été inconsidérées. Peut-être à tort.