Pour la première fois depuis #MeToo en 2017, celles et ceux qui piétinent la parole des femmes et refusent de condamner l’intolérable se sont pris le retour de bâton d’habitude réservé aux féministes. Et rien que ça, c’est un tournant.
Je me demande s’il n’y a pas un clivage entre celles et ceux qui ont vu la révolution des mœurs, et qui voient les excès sexuels comme libérateurs et leurs critiques comme bigotes et celles et ceux qui voient qu’il n’y a pas besoin de donner un statuts sacré à l’acte sexuel pour condamner les agressions et les viols.
Je me demande s’il n’y a pas un clivage entre celles et ceux qui ont vu la révolution des mœurs, et qui voient les excès sexuels comme libérateurs et leurs critiques comme bigotes et celles et ceux qui voient qu’il n’y a pas besoin de donner un statuts sacré à l’acte sexuel pour condamner les agressions et les viols.